un vie dans les rues

Comme à son habitude Kelanna regardait ce qu'il se passait dans les rues et sur la place, assise sur une barique, à l'entrée d'une auberge dont les mur extérieurs étaient criblés de balles, souvenir des passages des motards. Elle s'entendait bien avec le gérant qui lui offait quelques fois un déjeuner en échange d'un coup de main pour faire la vaisselle, débarasser les tables ou faire sortir des ivrognes importunant les autres clients. La dernière solution lui plaisait moins mais quelques fois c'était indispençable et quand ils tentaient de résister il était vraiment très facile de contrer leur tatentives d'attaques mais un avait quand même réussit à lui tordre le poignet mais il faut dire qu'il avait eut de l'aide...
Enfin bref elle était assise là à observer les enfants inssouciants qui jouait sur le bord des rues étroites, guéttant une éventuelle attaque des motards.

Tout était calme... peut-être même trop calme... mais c'était mieux ainsi elle observait les gens passer... le boulanger, son tablier plein de farine courant après un petit voleur... rien de plus naturel... elle hésita à arrêter le garçon mais se dit que si l'aubergiste n'était pas là elle ferai certainement la même chose donc elle regarda le gamin passer sans rien faire...

- On devrait tous être égaux... se dit-elle à mi-voix.

- C'est vrai mais malheureusement ça ne s'applique pas, lui répondit la voix famillière et paternelle de l'aubergiste derrière elle qui essuyait une chope.

- Pourquoi? demanda Kelanna en se retournant.

- Parce que nous somme en guerre permanante ou persque...

- Même s'il n'y avait pas de guerre ce serait pareil... répondit-elle en posant ça tête sur ses genoux qu'elle avait ramenée contre sa poitrine.

- Je te l'accorde... répondit le vieil homme en retournant à ses besognes.

Soudain, à voir les gens passer, Kelanna se sentie seule... atrocement seule... à voir les couples main dans la main profitant de ses instant de calme pour se balader... les mères courrant après leur enfants... même les maîtres artisants avec leurs apprentis... au milieux de la rue qui commençait à retrouver la vie qu'elle perdait après le passage des motards... elle se sentait seule mais ne savait pourquoi... elle ne voulait pas tomber amoureuse, ça faisait bien trop mal... elle ne voulait pas d'enfants c'est bien trop contraignant même si parfois ça fait rêver... elle ne voulait pas devenir apprentie pour la simple raison qu'elle ne voulait être dépendante de personne... mais c'était une sensation bizard qui reignait entre le calme et la solitude... un sifflement rettenti ce qui la sortie de ses songes suivit d'un coup de feu... et tout le monde se mis à courir... un système avait été établi pour prévenir de l'arrivée des motards... cette fois-ci le siffleur y avait certainement laissé ça peau... quelques personnes voulant se vanger des tueurs restaient dehors magrè les prières de leurs proches survivant ou simplement des gens plus sencés... mais certains s'obstinaient... et on connaissait déjà le destins de ceux qui restaient...


HJ: je voulais juste mettre un peux d'action mais je peux effacer la fin du message si je dois pas...

Dans la précipitation elle se réfugia chez Hans, le tavernier, elle se cachatsous une table, contre un mur, loin de la fenêtre. Une cachette d'ou elle ne voyait rien mais où on ne pouvait pas la voir non plus. Hans ferma la porte à clef après avoir accueillit quelques habitants qui montèrent se réfugier à l'étage de l'auberge.
Des coups de feu... des cris... des hurlements... Kelanna savait que dehors, trop de gens mourraient... elle pleura... elle ne comprenait même plus pourquoi... elle faisait le vide dans sa tête... et se coupa des bruits, de tout ce qu'il se passait autour d'elle... jusqu'à ce que Hans vienne la voir sous la table et la serre dans ses bras de cet air bourru habituel qui réchauffait le coeur de la jeune fille... Kelanna pleurait toujours mais bientôt elle se calma et on commença à sortir timidement des maisons... les enfants était interdit de sortir sous prétexte de danger mais c'était en fait pour éviter qu'ils ne voient les nombreux corps étendu sur le sol... inertes... des images d'horreurs fixés sur leur visages... on entendaient des femmes pleurer... crier...
A la fin de l'après midi, le village était nettoyé... le calme était revenu... on recommençait à sortir... maintenant que les motards étaient passés, les habitants comptaient sur deux ou trois jours de répit... pour ensuite être victimes encore d'une nouvelle attaque...

hj: olala je viens de relire ce que j'ai écrit avant c'est bourré de fautes... excusez moi...

Après ce désastre Kelanna décida de faire un tour... à l'approche d'une rue, elle entendait une discution elle lança un regard furtif dans la ruelle où elle apperçu quelques personnes dont un motard...

entrevue avec Weevil

hj: hi chui contente j'ai réussi à vous rejoindre =D

HJ : nous aussi ! [enfin je m'avance pour les autres mais je pense que c'est l'opinion générale.... !!!]

Hj : Oui, d'ailleurs c'est aussi ce que j'ai dit dans mon autre message dans l'entrevue avec Weevil, qu'on était content qu'elle nous ait rejoint.

Quand elle arriva enfin à la taverne, Hans la questionna:

- Mais où étais-tu passée??? Je t'ai cherché partout!!

- Excuses-moi j'était partie faire un tour et ça m'a pris plus de temps que je croyais...

- C'est pas bien grave mais tu m'a fais peur!!

Hans la serra dans ses bras... il l'a concidérait comme sa fille et à chaque attaque des motards, sa plus grande peur était de la perdre...

- Allons... viens avec moi, j'ai du travail pour toi, dit-il en souriant.

Une folle envie de monter à cheval pris Kelanna. Elle prévint Hans et parti avec l'étalon noir que lui avait offert celui-ci plusieurs années au paravant.

=> les rues "en route pour l'expédition"